A chaque étape du process de fabrication du sucre et du rhum sont obtenus des co-produits : mélasse, bagasse, écumes, cendres, paille et vinasses.
Avec 1 tonne de cannes, on récolte 300 kg de bagasse qui peuvent produire 130 kwh
Les acteurs de la filière canne-sucre-rhum ont démontré leur engagement en faveur du développement durable, en particulier, en ce qui concerne le développement des énergies renouvelables :
À la Martinique, avec la mise en service en 2018 de la centrale de cogénération Galion 2. Opérée par la société Albioma, cette centrale est la première de l’outre-mer français à fonctionner uniquement à partir de biomasse pour produire de l’électricité et de la vapeur basse pression. Elle utilise de la biomasse locale (pour l’essentiel la bagasse fournie par la sucrerie voisine) et de la biomasse importée. D’une puissance installée de 40 MW, sa production d’électricité répond à 15% des besoins de la Martinique
À la Réunion
Aussi, la valorisation agronomique du digestat de méthanisation sur plus de 1.400 hectares de terres agricoles ; Essentiellement des terres de cannes à sucre, effaçant près de 50 % d’engrais chimiques importés par hectare.
À la Guadeloupe, GARDEL est la première sucrerie européenne certifiée ISO 50001, qui a développé son autonomie énergétique en s’adossant à une centrale thermique de valorisation de la bagasse. La sucrerie GARDEL permet une valorisation totale des sous-produits issus du broyage de la canne (bagasse/écumes/eau*) et ne génère aucun déchet organique.
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